Provencher, Catherine
(2024).
« Ergativity in micronesian languages : synchronic and diachronic evidence » Thèse.
Montréal (Québec), Université du Québec à Montréal, Doctorat en linguistique.
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Résumé
Le but de cette thèse est d’explorer l’histoire des changements qui se sont produits dans les langues micronésiennes afin de définir quels sont les processus et mécanismes propres à la variation linguistique, autant synchronique que diachronique. Nous partons de l’hypothèse que la variation linguistique est le résultat d’un changement de traits non interprétables dans les catégories fonctionnelles (Chomsky, 1995). En étudiant l’incorporation du nom, la position des arguments, la fonction des pronominaux et la réduplication, nous tenterons de déterminer les modifications de traits qui sont responsables de la variation entre plusieurs langues micronésiennes. De plus, nous ferons l’hypothèse qu’un ancêtre des langues micronésiennes avait un alignement ergatif et qu’on peut en retrouver des traces dans certaines de ces langues.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : langues micronésiennes, ergativité, variation, syntaxe, minimalisme, assymétrie
Type: |
Thèse ou essai doctoral accepté
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Informations complémentaires: |
Fichier numérique reçu et enrichi en format PDF/A. |
Directeur de thèse: |
Di Sciullo, Anna Maria |
Mots-clés ou Sujets: |
Langues micronésiennes / Constructions ergatives / Variation |
Unité d'appartenance: |
Faculté des sciences humaines > Département de linguistique |
Déposé par: |
Service des bibliothèques
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Date de dépôt: |
30 juill. 2024 13:51 |
Dernière modification: |
30 juill. 2024 13:51 |
Adresse URL : |
http://archipel.uqam.ca/id/eprint/17871 |